Blanc
Le blanc porte toutes les couleurs!
L’innocent ne veut être que couleurs!
Libre espace,léger cœur!
Riche ignorance! Grand vide!
Petit rien!
Voilà Tout ! Le blanc attire le plein !
Dieu naît dans l'origine !
Sans vide il n'y a rien !
Le blanc porte toutes les couleurs!
L’innocent ne veut être que couleurs!
Libre espace,léger cœur!
Riche ignorance! Grand vide!
Petit rien!
Voilà Tout ! Le blanc attire le plein !
Dieu naît dans l'origine !
Sans vide il n'y a rien !
L'image sonne faux :
Elle entre dans la boîte vide
Sans retenue, se dénude .
Seul l'oeil appartient au soleil !
Finalement est le début d'une autre histoire.
Il tombe comme une lune dans un soir !
Déesse mythique, des barques.
Sous le pont sa voilure attire le vent,
Arc au corps la septième parenthèse.)
Offre son ciel aux courbes ténébrantes )))))))
Inspire ce qui se devine,
libère la brûlante urgence
le point....... filament.
Soi- disant je est un autre.
il a les yeux d'Apollon sans muse.
il est la brise des intimes allées,
cet air de rien désinvolte glanant l'orge et le blé,
effeuille l'incompris et frôle le rêve.
Il est le soi-chantant dans son coeur.
À la différence !
À l’incomplétude !
Au soupçon, air doux Mercure étend quatre vents !
À Thalès, maître des ombres en sol !
À l’Inconstance, courbe parfaite des nesciences !
Au Théo, règne des variables sacrées !
Phrase traversière, Confuse fuite légère.
Diaphane muse, Ionie contre Perse, œil et paupière, voix sans lumière.
Âme retenue, seule prisonnière, glisse habile, en volutes incendiaires.
Si Logos est le verbe,Phrase devient forme entière.
Parfaite Phrase, fuite partie d’Ionie
Ve-nue, veut naître quelque part entre elle et l'autre.
Champs en notes intimes et légères, sont nudité dévoilant lumière.
Irrésistible est le flot des sons;
Dans le corps du vide Syllabes coulent en personne.
Autrefois vivaient les divines.
Entre temps passe,
Dérobade, tant d’autres apparences.
Point de fuite.
File Sophie, tisse sa parole trop claire,
Entre, chasse le chant des sirènes.
Court, boit à la coupe des vents.
Corps vide, reine des riens.
Entrelace de sa légère promesse.
L’âme vibre et croît l’histoire d’être
Point de fuite …
La plèbe, mine du temps, gesticule sans vue.
Le savant débranche le mythe, enraie la lyre.
Fleurissent les boudoirs aux murs vides...
Tout est dit!
Tout reste inapparent!
Tous Orphelins sans miroir….
Rose... trace d'une bouche chanceuse !
Blanche pomme.
Quelle luxure!
Griveleuse du secret nu.
Âge de tous les mélanges.
Nouvelles croisées colorent la toile.
Heur aux notes portées.
Rêve aux perles effleurées.
Étrange R.