17 août 2011
Le seul compagnon de voyage
L’occident meurt doucement.
Un autre monde :
Celui des voiles.
Vogue alors ce temps
Entre l'or d'hier
et l'autre soleil.
L’horizon fleurit la tombe antique.
L’homme ébloui traverse l'Histoire,
Il oublie son seul compagnon de voyage.
La crise n’a pas cent ans.
Rome déjà succombait sous trop de soleils.
Toute civilisation s'éteint sans bonheur.
Tout fils d'homme naît pour le trouver.
Au fond de lui brille l’unique félicité
Comme la lune caressant la nuit,
Le secret de sa jouissance est son souffle
Et son coeur qui bat.
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